On s’entend, y’a rien qui ressemble, de près ou de loin à un barbier quand je regarde ça, mais c’est aujourd’hui l’emblème par excellence de ce genre de commerce. Pourquoi ?
Sources et pour aller plus loin:
CORBIN, Alain, VIGARELLO, Georges et Jean-Jacques COURTINE (dir.) Histoire du corps, 1. De la Renaissance aux Lumières. Paris, Seuil, 2005.
GRMEK, Mirko D (dir.). Histoire de la pensée médicale en Occident. Tome. 2. De la Renaissance aux Lumières. Paris, Seuil, 1995.
MANDRESSI, Rafael, Le regard de l’anatomiste : dissections et invention du corps en Occident. Paris, Seuil, 2003.
SIRAISI, Nancy G. Medieval & Early Renaissance Medicine. An Introduction to Knowledge and Pratice. Chicago and London, The University of Chicago Press, 1990.
Au Myanmar, (certains disent encore Birmanie), Bayinnaung est couronné roi de Burma et s’apprête à assembler le plus gros empire que l’Asie du Sud-Est ait jamais vu. Bayinnaung qui sera plus tard surnommé le conquérant des 10 directions, est né Ye Htut le 16 janvier 1516.
Sources et pour aller plus loin:
Than Tun, « Administration Under King Thalun », Journal of Burma Research Society, vol. 51, part. 2, décembre 1968, p. 173–188.
William B. Noseworthy, Gale Researcher Guide for: The Toungoo Dynasty and Centralization in the Burmese State, Cengage Learning, 2018.
Victor B. Lieberman, Burmese Administrative Cycles: Anarchy and Conquest, c. 1580–1760, Princeton University Press, 1984.
Victor B. Lieberman, « Was the Seventeenth Century a Watershed in Burmese History? », In Reid, Anthony J. S. (ed.). Southeast Asia in the Early Modern Era: Trade, Power, and Belief. Cornell University Press. 2018.
Sanjay Subrahmanyam, The Portuguese Empire in Asia, 1500-1700: A Political and Economic History, London, Wiley-Blackwell, 2012.
Bayinnaung, king of Myanmar Written and fact-checked by The Editors of Encyclopaedia Britannica https://www.britannica.com/biography/Bayinnaung
Le texte et les sources ont été vérifiés de manière indépendante par un historien PhD.
Autres références disponibles sur demande.
Les exploits militaires de Léo Major sont dignes de mention et pourraient très bien faire l’objet d’un film hollywoodien, car le scénario de ses exploits cadre parfaitement avec la vision populaire du héros en temps de guerre.
ERRATUM: Séoul, capitale sud-coréenne et non nord-coréenne. Bien sûr.
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Avec: Laurent Turcot, professeur en histoire à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Script: Carl Pépin https://carlpepin.com/about/
Montage, réalisation: Laurent Turcot
00:00 Introduction
01:58 Enfance
04:40 Le soldat
06:31 Débarquement de Normandie
08:36 Encore blessé
10:28 Zwolle
17:55 Médailles
19:40 Corée
21:36 Colline 355
28:00 Champ d’honneur
29:35 Conclusion
Sources et pour aller plus loin:
Luc Lépine, Léo Major : un homme résilient, Montréal, Hurthubise, 2019.
Jacques Castonguay, Armand Ross et Michel Litalien, Le Régiment de la Chaudière 1869-2004, Lévis, Forces armées canadiennes, 2005
Entrevue avec Léo Major en 1995, vétéran québécois et héros de la Seconde guerre mondiale, Radio-Canada, Source : Émission spéciale Le jour de la victoire, 5 mai 1995, Animateur : Daniel Lessard, Journaliste : Louis Lemieux https://youtu.be/x_uwEKVikxI
Longtemps, le feu a été l’ennemi numéro 1 particulièrement dans les villes. Un incendie pouvait se propager très rapidement et raser la moitié des maisons surtout si elles étaient toutes bâties en bois. Comme toutes les villes de la colonie, Montréal n’a pas échappé à ce fléau. On l’a rebâtie souvent!
Retour sur 6 incendies marquants de l’histoire de Montréal et le développement du service d’incendie de la ville en réponse à ces évènements tragiques.
COURTEMANCHE, Jean-François, MARCOUX, Pierre-Yves, BELLOMO, Francesco, Le Feu Sacré. Une histoire des pompiers de Montréal (1642-2005), Éditions Stromboli, 2005 https://www.stromboli.ca/le-feu-sacre/
Script: Jean-François Courtemanche du Centre de document en histoire du SIM et Marie-Lyse Paquin (Recherchiste et chroniqueuse spécialisée en histoire (Historia, ARTV, Télé-Québec, Avenues.ca, Bell Sympatico et Châtelaine), https://www.youtube.com/marielysepaquin
00:00 : Introduction
00:40 : L’incendie de 1734
04:16 : Parlement de Montréal 1849
05:53 : Grand incendie de 1852
09:00 : Incendie de l’asile Saint-Jean en 1890
10:10 : Incendie du Laurier Palace en 1927
11:56 : Écrasement du bombardier Liberator en 1944
Avec: Laurent Turcot, professeur en histoire à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Script: Marie-Lyse Paquin et Jean-François Courtemanche
Sources et pour aller plus loin:
COURTEMANCHE, Jean-François, MARCOUX, Pierre-Yves, BELLOMO, Francesco, Le feu sacré : une histoire des pompiers de Montréal, 1642-2005, Montréal, Stromboli, 2013.
LINTEAU, Paul-André, Histoire de Montréal depuis la Confédération, Éditions du Boréal, 2000.
FOUGÈRES, Dany (dir.), Histoire de Montréal et de sa région, Tome I: Des origines à 1930; Tome II: De 1930 à nos jours, Presses de l’Université Laval, Collection Les régions du Québec, 2012.
Le texte et les sources ont été vérifiés de manière indépendante par un historien PhD.
Autres références disponibles sur demande.
C’est une des choses les plus naturelles au monde que de pleurer.
On pleure quand on est ému, quand on a mal, quand on est heureux, quand on est en colère, quand on a peur, les larmes expriment clairement une émotion. Elles rendent visible l’intériorité.
Cependant les larmes que l’on pleure ne sont pas toujours clairement décodées par celui ou celle qui les voit. Entre des larmes de tristesse, celle de la fierté ou de la colère contenue, il est parfois difficile d’en saisir les nuances.
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Avec: Laurent Turcot, professeur en histoire à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Canada
Relecture: Benoît Melançon, et merci pour les références. http://mapageweb.umontreal.ca/melancon/
Sources et pour aller plus loin:
Anne Vincent-Buffault, Histoire des larmes, XVIIIe-XIXe siècle, Paris, Payot, 2001 (1986).
E. Fureix, La France des larmes: deuils politiques à l’âge romantique (1814-1840), Editions Champ Vallon, 2013.
Piroska Nagy, Le don des larmes au Moyen Âge. Un instrument spirituel en quête d’institution (Ve-XIIIe siècle). Paris, Albin Michel, 2000.
Piroska Nagy, « La tristesse. Une vallée de larmes », mensuel 409 (mars 2015), L’Histoire https://www.lhistoire.fr/la-tristesse-une-valle-de-larmes
Z. Hakim, « De la sociabilité à la pudeur: l’éthique des larmes au XVIIIe siècle », Lumen, Tome XL, 2021, p. 183-193.
Le texte et les sources ont été vérifiés de manière indépendante par un historien PhD.
Autres références disponibles sur demande.
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