On entend souvent l’idée que dans l’ancien temps, le « monde » ne se lavaient pas et qu’ils puaient ? Pour les besoins de la cause, intéressons-nous à l’époque moderne, soit du 16e au 18e siècle.

Par: Laurent Turcot, professeur en histoire à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Canada

Réalisation : Jean-François Martel
Caméraman : Jean-Marc Abela
Animation et recherche : Laurent Turcot

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Sources et pour aller plus loin:
– Corbin, Alain, Le miasme et la jonquille. L’odorat et l’imaginaire social, XVIIIe-XIXe siècle, Paris, Flammarion, 1998.
– Corbin, Alain, Georges Vigarello et Jean-Jacques Courtine (dir.) Histoire du corps, 1. De la Renaissance aux Lumières. Paris, Seuil, 2005.
– Jahan, Sébastien. Le corps des Lumières, émancipation de l’individu ou nouvelles servitudes ?. Paris, Belin, 2006.
– Vigarello, Georges, Le Propre et le sale : l’hygiène du corps depuis le Moyen Âge, Paris, Seuil, 1985.

Le texte et les sources ont été vérifiées de manière indépendante par un historien PhD.
Autres références disponibles sur demande.

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